Le vent est plus frais, plus humide, le ciel chargé de sel et la plage se vide. L’hiver s’annonce avec le vent qui déchire les crêtes extraverties et les bleus exubérants des nuages corses. Je marche. Les figues sont encore lourdes et ventrues comme des couilles, ultimes sucres, derniers fruits, derniers soleils. Immense silence, immense solitude au soleil couchant les parfums sauvages.
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