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Du Living théâtre comme de la Littérature à Minuit, comme un Acte- polar qu'on lirait dans le Sud, au Seuil d'une phrase, au fond d'un Poche, un Essai Imaginaire qu'on dévorerait chez P.O.L, au Point du mot, au Buchet Castel chez Zulma - en Verticale ou à l'horizontal, ou chez Sabine Wespiersen ou alors chez Verdier, qu'il pleuve ou sous le soleil.
Il a pensé qu’elle devrait lire ce blog, sans trop savoir pourquoi. Peut-être certains commentaires sous les photos. Double blind. Les photos elles-mêmes, elle est si sensible à la peinture, à l’image. Il lui a envoyé l’adresse. Certains textes, celui sur les limaces, celui qui commence par Flotte argent. Elle a dit c’est quoi cette adresse. Souvent il lui envoie des adresses qui ne l’intéressent pas mais elle ne le dit pas. Cependant elle a regardé. Un silence s’est installé, un long silence. Il est devenu étrange, ce silence. Elle pleurait. Plus tard elle a dit je croyais que ces choses qui étaient au fond de moi, on ne pouvait pas les dire. Ces choses qui m’empoisonnent. Jamais je n’ai eu les mots pour les dire. Et les mots sont écrits, là.
RépondreSupprimerAnonyme... c'est si bien écrit.. encore, dis encore.
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